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Sentimentalement demissionaire.

Sentimentalement demissionaire.
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24 août 2008

Faudrais que j'arrête d'aimer les gens. C'est trop fatiguant.

1273938316_1_Jeudi 19 juin - 22h13 -01:02;
Pix : BME

==Deux jours, trois jours. Je ne sais plus. Traîner en peignoir, échevelée. Mes doigts, mes lèvres toujours accrochés au joint. Deux jours, trois jours. Je ne sais plus. Traîner le même jean crade. Les yeux rouges de shit ou de larmes. Je ne fais plus la différence. Deux jours, trois jours. Je ne sais plus. Traîner la résonance de mon cœur qui bat sans écho dans le silence. Toujours la même nausée au bord des lèvres. Deux jours, trois jours. Je ne sais plus. Traîner les mêmes mots : silence, déchirement, absence, scission, carence, séparation et vide, néant, creux, poids, froid, vacuité. Parfois, quand j'allume une cigarette, j'ai envie de me brûler les cheveux. Parfois, quand je suis sur le quai de la gare, j'ai envie de me jeter sur les rails. Parfois, quand j'ai un couteau dans la main, j'ai envie de me taillader les doigts. Parfois, quand je suis en voiture, j'ai envie d'ouvrir la portière et de me laisser tomber sur la route. Parfois, quand je m'endors, je veux ne plus jamais me réveiller. Parfois, quand je suis sur le pont j'ai envie de me balancer dans le canal. Parfois, quand je bois, j'ai envie de me noyer dans l'alcool. Parfois, quand le feu est vert, j'ai envie de me jeter sous les voitures. Parfois quand je prends des médicaments, j'ai envie d'avaler toute la boîte. Parfois, quand je marche dans la rue, j'ai envie de m'allonger sur le trottoir et ne plus jamais me relever. Parfois, quand je suis sur la terrasse, j'ai envie de sauter dans le vide.

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24 août 2008

Et alors je ris aussi d'avoir si peu envie de t'aimer.

l_78a34fd8c00bb406d88ec32338066810Reapprendre à Aimer c'est possible ?

24 août 2008

L'art de s'autodetruire.

Mardi 29 septembre 2007 - 23h23 ;
1226790440_1_Pix : Jordan Holland


____Les yeux suant la noirceur, me lechant les levres au gout amer en marmomant quelques sombres prières.Comme c'est mignon. Une photo d'eux, un couple, elle regarde l'objectif, elle me regarde moi, un beau garçon aussi, deux jeunes gens parfaits, un message, une multitude de "je t'aime", parce qu'en fait il n'a rien d'autre à dire. Ils s'aime juste, ils ne pourraient pas expliquer pourquoi, je suppose. Et à la fois, je n'en sais rien. Il y a un côté mignon à ces vains "je t'aime" qui veulent dire on ne sait trop quoi. Suis-je jalouse? Non, je ne crois pas. Mais cela m'attendrit : Comme elle l'aime vraiment beaucoup, elle l'écrit beaucoup de fois. Elle l'aime tellement qu'elle doit le répéter. Je pourrais dire qu'à la place de répéter bêtement, vu que c'est bon, on a compris, elle pourrait développer, ou je ne sais pas, approfondir. On peut croire qu'elle répète ces mots parce qu'elle ne sais pas comment le dire autrement, ou que c'est parce que derrière ces mots en papier qu'on arrache d'un poing, il n'y a rien, ces "je t'aime" seraient une surface cachant la vanité de son amour.On peut aussi penser qu'elle n'éprouve pas le besoin de le dire d'une autre manière, qu'elle n'a pas comme moi cette tendance à expliquer chaque phrase prononcée. On peut penser qu'elle l'aime tellement et que comme l'amour rend aveugle; oui, l'amour nous rend aveugle,mais au point dans arriver a une boucherie, s'arracher les yeux.Dans quel but? Dans chacun de ses "je t'aime" c'est son exaltation qui sort de son coeur, comme un ballon de baudruche rempli d'air et qui explose. Peut-être chacun de ces "je t'aime" est en fait un "je t'aime" différent, peut-être ses "je t'aime" sont des symboles de son état intérieur. Je déteste l'amour& toutes ses saloperies toutes les plus dégueulasse et répugniantes que les autres.C'est ton coeurs que je crachais par mes yeux, quand je te regardais.



On a beau être entourée de gens qu'on aime, on se sent SEULE.

18 août 2008

Amnésie Suicidaire.

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Une chanson qui te fait pleurer ?

18 août 2008

Crise identitaire.

Tu noies ton cerveau dans l'absence, et peu à peu, tu t'oublies. photo_36910117

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18 août 2008

Ne compte pas sur moi pour reconnaître ton corps à la morgue.

1198011754Parfois , Quand on laisse les choses s'accumuler au fond de son coeur , ça finit par pourrir

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18 août 2008

Et avant même d'avoir commencer a fumer, je pars en cendre .

117888401008 septembre 2007- 1h29

____L'envie de vomir mes tripes et mon cœur, mon âme, mon esprit. L'envie de vomir toute substance pour ne plus avoir à penser. Pour ne plus avoir à craindre. Et cette culpabilité. La culpabilité que je fonde moi-même parce que je suis incapable d'être droit face à mes responsabilités. La culpabilité que je laisse couler comme un venin vicieux dans mes veines sans s'en m'en apercevoir. En me voilant la face. Et puis ça éclate. Les larmes sont le seul moyen d'expression car la force de hurler, de maudire ou de taper n'est même pas là et parce qu'elle est absurde et que je le sais. Mais juste pleurer. Avoir fuit mes responsabilités pour mieux les souffrir. Voilà. C'est tout ce qu'il y a. Reculer pour mieux sauter. Mais avec tout ce que ça m'apporte et l'échéance n'en est pas moins lourde. C'est un crève-cœur qui bousille tout sur mon passage. Et c'est là que j'ai envie de hurler. J'ai trop de choses à dire. Je voudrais me mettre une pure mine pour oublier tout ça mais j'en ai même plus la force, ni la volonté. C'est tellement con. Et puis je tape, je tape. Et tout ce qui m'apparaîs, c'est mon ridicule... parce qu'il est tard, Et que je me dis. Arrête ! Arrête ! Mais arrêtez quoi ? Comment ? On peut vraiment arrêter les entrailles de se nouer ? Cette conviction d'être nul, bon à rien, juste bon à psychoter. Je suis aveuglée. Vous savez même pas ce que j'ai dans la tête... Vous la pensez pleine mais elle est vide, elle se vide elle-même. Doucement, tout doucement; Envie d'y vomir. C'est tout. Crever l'abcès et vomir cette substance, cette bile, ce fuel, cette chose qui ne sortira pas autrement qu'en la tirant toi même de tes entrailles. Laissez moi vomir

18 août 2008

& avec tous ça; Je ne sais même plus à qui je pense le soir avant de m'endormir.

1149701076_small.


Peut-on tout oublier des gens avec qui nous avons eu une relation sans laisser tomber des parcelles de nous-même?


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18 août 2008

Donne moi de quoi FUMER, je ne veux pas être triste.

112938410810 aout 2007- 00h01


& cette tête qui pense trop, & ce coeur qui s'écrase peu à peu. ces putains de pensées qui me fouttent en l'air. Comme si j'étais juste quelqu'un qu'on avait eu envie de rencontrer et puis après c'était fait.


La vie m'epuise. Pulsations de mon pouls dé-rythmées par la sensation de pourrit. La vie me répulse. La vie me révulse. L'estomac retourné. Le coeur submergé. Pulser les pulsations de ma passion. Pulvériser les raisons de ma dépression. Retour à la case départ. Retour à la crasse désespoir. 10m2 : l'enfermement nécessaire à la venue des mots. Sur ce clavier, dans cette pièce, dans Ma chambre. Et écrire c'est être dans cette solitude énorme, dans cette chape de silence. Écrire c'est être enfermée au dedans de soi et tournée vers l'extérieur. Toujours dans le silence. Écrire, c'est la distance aussi, un gouffre entre le monde& moi, un gouffre de silence avant le flot de paroles. Un gouffre de vide avant les gestes vers mon corps. La solitude est presque palpable, quelque chose de ouaté autour de tout mon corps. Quelque chose de ouaté qui porte les sons à distance. La solitude énorme devant le livre à venir. Écrire, ça me devient ça : la solitude énorme. Des liens qui se dénouent, des phrases qui se brisent, des mots qui s'avortent. Et la langage, dans la solitude, dans le silence recompose, retisse. Des liens, des mots, des phrases. Ivre, ivre, je pleure ma jeunesse qui s'enfuit. Folle, folle, je m'amuse du temps qui m'échappe. Je ragarde mon visage dans la glace : les pommettes saillantes, le regard un peu triste, les cheveux décidement bruns et la peau si blanche, si blanche. Je regarde mon histoire dans la glace : la petite cicatrice là, dans la mémoire. J'ai 18ans et des souvenirs en absence derrière moi. J'ai 18ans & le programme déterminé de ma vie devant moi. Il faut dire, je suis cette femme là, la femme aux pommettes saillantes&au regard un peu triste. Il faut dire, je suis la femme décidement brune& la peau si blanche, si blanche. Je dois dire, cette femme là, dans la glace, la petite cicatrice dans la mémoire, c'est moi. Ma peau, ma chair me disent bien quelque chose là de déchiré. Quelque chose comme une béance, un silence taillé au couteau. Là, ça se contracte dans mon ventre ou ça me coupe le souffle. Quelque chose de brisé, irrémédiablement rompu. Quelque chose qui m'oblige à me tenir plus droite. Quelque chose qui me contraint à être plus forte. C'est là quelque part, quelque part dans ma mémoire, quelque part dans cette histoire sans cesse réecrite de ne vouloir se dire. C'est là, dans ce ressassement, là dans mes listes, là dans tous mes mots, qui vient teinter chacun de mes gestes. C'est là, je le sais bien mais je ne vois pas. C'est là mais je ne m'en souviens pas. Tant que j'ai des projets, je suis en vie. Tant que je suis en rage, je suis en vie. Tant que je rêve, je suis en vie. Tant que j'espère, je suis en vie. Tant que je sais sentir ton odeur, je suis en vie. Tant que mes membres répondent à la volonté de mon cerveau, je suis en vie. Tant que ma poitrine se soulève sous l'impulsion de ma respiration. Tant que mon cœur bat au rythme de mon sang, je suis en vie. Je suis en vie et ça peut s'arrêter n'importe quand. On m'imagine irrémédiablement triste, de grands cernes violets/noirs autour des yeux. On imagine ma dépression en bannière, les larmes aux bord des lèvres qui tremblent. On m'imagine faible aux coups du sort, baissant facilement la tête. On s'imagine que je me cherche, perdue dans l'incompréhension de moi. On s'imagine que j'ai besoin qu'on m'aide, qu'on me cajôle, de me guider dans le chemin sinueux de la vie. On m'imagine à partir d'une photo, à partir de mots obscurs et surtout a partir de rien; On m'imagine mais on ne me voit toujours pas.


la cendre de cigarette partout sur la table; et puis. quoi encore?

18 août 2008

Tu étais fort & beaux , tu l'es d'autant plus en morceaux.

1308704194sm4Celui qui aime quelqu'un à cause de sa beauté; l'aime t'il réellement?

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